Le Panamá abrite environ 10 000 espèces de plantes, dont 1000 espèces d'arbres et 1200 espèces d'orchidées. Le Panamá est un foyer de nombreuses espèces endémiques, c'est-à-dire qu'elles ne se trouvent nulle part ailleurs sur la planète.
Le Panamá abrite 12 aires écologiques et 8 zones de confluence. Les variations du climat et du relief ont façonné des écosystèmes variés, dont des lagunes, des marais, des zones herbacées, des mangroves, des plaines, des forêts tropicales sèches ou humides et des plaines subalpines de haute altitude.
Certaines plantes adoptent des mécanismes de défense en produisant des substances toxiques pour protéger leurs jeunes feuilles contre les herbivores. D'autres développent des fruits riches, attirant ainsi les insectes et les animaux qui dispersent les graines par leurs excréments.
La floraison des plantes au Panamá se déroule en deux périodes clés, au début et à la fin de la saison des pluies. La première période de floraison est cruciale pour la production de semences.
Les biologistes du monde entier tentent de comprendre les raisons de la remarquable diversité de la flore et de la faune au Panamá. La disponibilité des protéines tout au long de l'année dans les régions tropicales est une hypothèse.
Le Panamá, pays d’une grande diversité, abrite 12 aires écologiques et 8 zones de confluence. Les variations du climat et du relief ont façonné des écosystèmes variés, dont des lagunes, des marais, des zones herbacées, des mangroves, des plaines, des forêts tropicales sèches ou humides et des plaines subalpines de haute altitude. Les chaînes de montagnes du pays servent de frontières météorologiques et de ligne de partage des eaux.
Avec une richesse végétale et animale comparable à celle de l’Europe. Le pays compte environ 10 000 espèces de plantes, dont 1000 espèces d’arbres et 1200 espèces d’orchidées, dont l’Espiritu Santo, une espèce emblématique.
Certaines plantes adoptent des mécanismes de défense en produisant des substances toxiques pour protéger leurs jeunes feuilles contre les herbivores, tandis que d’autres développent des fruits riches, attirant ainsi les insectes et les animaux qui, en dispersant les graines par leurs excréments, contribuent à l’éloignement des plantules de l’arbre. Ces stratégies sont essentielles pour la survie de nombreuses espèces végétales, et elles sont particulièrement actives pendant les deux périodes clés de floraison, à savoir au début et à la fin de la saison des pluies, qui se déroulent de mars à juin et de septembre à octobre, respectivement. Il convient de noter que seule la première période de floraison est cruciale pour la production de semences.
Les biologistes du monde entier ont longtemps cherché à comprendre les raisons sous-jacentes à la remarquable diversité de la flore et de la faune dans cette région.
Les protéines sont essentielles à la vie, et leur disponibilité varie selon les régions. Dans les régions tempérées, l’arrivée du printemps est marquée par une abondance de jeunes pousses riches en protéines. Les animaux qui dépendent de ces ressources adaptent leur mode de vie à ce cycle saisonnier. Les espèces migratrices affluent au printemps, et les mammifères donnent naissance à leur progéniture en ce moment.
En revanche, dans les régions tropicales, la production de protéines est plus constante. Le climat clément permet un développement végétal tout au long de l’année. Les animaux qui vivent dans ces régions n’ont pas besoin d’adapter leur mode de vie de la même manière.
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